EN RAISON DU CONFINEMENT, CETTE INITIATIVE A DU ÊTRE ANNULEE.
Il est temps d’en prendre la mesure : le travail est une grande question politique. Ce qu’on y fait, ce qu’il nous fait, contribue de façon essentielle à construire – ou à détruire - la société. Le samedi 21 mars, à partir d’expériences vécues dans les luttes, nous vous invitons à venir en discuter : comment reprendre la main sur le travail, pour y permettre le développement de la vie ?
Date : Le 21 mars 2020
Lieu : Bourse du travail de Paris, 29 Boulevard du Temple, métro République
Réservation, inscription : Réunion publique ouverte à tou.tes ; inscription gratuite (mais nécessaire) en cliquant ici.
Information : Les Ateliers Travail et Démocratie en cours de constitution visent à construire une alliance entre professionnel.les, citoyen.nes, syndicalistes, chercheur.es..., pour faire de la démocratie au travail une question politique centrale.
Inscription ici
Les Ateliers Travail et Démocratie en cours de constitution visent à construire une alliance entre professionnel.les, citoyen.nes, syndicalistes, chercheur.es..., pour faire de la démocratie au travail une question politique centrale.
Au lieu d’un colloque classique avec intervenants en tribune et questions de la salle, le samedi 21 mars nous souhaitons procéder à partir de la mise en débat du travail réel.
Dans les ateliers du matin, on discutera de ce qui nous importe au travail, en partant des expériences, pour aller vers des questions politiques.
Dans les débats de l’après-midi, des acteurs des luttes en cours (cheminots, avocats, forestiers, soignants, profs...) discuteront de la place du travail dans ces luttes.
Programme :
9h-9h20 : Accueil et ouverture de la journée
9h30- 12h15 : quatre ateliers en parallèle (« Care », « Ecologie », « Démocratie », « Enquête ouvrière »), introduits par des témoignages sur le travail réel.
14h-15h30 : Premier débat : Le travail dans les luttesRetour ligne automatique
On y débattra sur la base des expériences de secteurs en lutte où sont engagées la réflexion et l’action pour faire connaître le travail qu’on y fait et construire la solidarité entre travailleurs/ses et usagers/ères : la forêt, le rail, les métiers invisibilisés de l’enseignement supérieur et la recherche, les avocats, les hôpitaux, l’enseignement technique, et tous ceux qui émergeront dans la discussion.
16h -17h30 : Deuxième débat : Et si on s’occupe du travail ?Retour ligne automatique
Comment divers acteurs sociaux prennent-ils en compte aujourd’hui la question du travail et comment faire plus et mieux ? Trois d’entre eux – issus du féminisme, de l’écologie politique et du théâtre - ouvriront la discussion. L’objectif est que le débat général fasse ressortir bien d’autres expériences pour imaginer la diversité des voies possibles.
17h30 - 18h : Perspectives
Le comité d’organisation : Yves Baunay (Institut de recherche FSU), Bernard Bouché (syndicaliste Solidaires), Christine Castejon (analyste du travail), Thomas Coutrot (économiste, membre d’Attac), Alexis Cukier (philosophe, membre de la fondation Copernic), Antoine Duarte (psychodynamicien du travail), Christine Eisenbeis (Institut de recherche FSU), Olivier Frachon (syndicaliste CGT), Tony Fraquelli (syndicaliste CGT), Lucie Goussard (sociologue), Françoise Lignier (syndicaliste CGT), Marie-Hélène Luçon (syndicaliste FSU), Julien Lusson (membre de l’AITEC), Pascale Molinier (psychologue du travail), Muriel Prévot-Carpentier (philosophe), Michèle Rault (syndicaliste Solidaires), Nicolas Spire (sociologue).