Les coopératives d’activité et d’emploi (CAE) cherchent à concilier la plus large autonomie au travail pour leurs sociétaires avec les garanties du salariat. Peuvent-elles préfigurer ce que serait un salariat sans subordination ? Faut-il plutôt reconnaître que la subordination est indissociable des protections salariales, tout en visant à démocratiser le plus possible les rapports de travail ?
Introduction par Thomas Coutrot A ses débuts l’horizon du mouvement social et syndical était (…)